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We are infinite.

15 novembre 2015

" la beauté qu'elle disait, ne vaut plus rien une fois couchée "

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Et jeter des mots crus sur une page vierge. Cru comme mon repas. Vierge comme moi. Me lâcher, me lâcher. De façon gauche, pas très modèle. Arrêter les habitudes. Cracher sur les tombes. Oublier de s'excuser. S'accommoder des malices. Vice, vice, vice. Ce qu'on  m'a empêché, ce qui grandit en moi. Et de l'envie, oh de l'envie. De tout envoyer chier. De nous envoyer chier. Ah ah oui envie-petite-envie. Envie ma douce envie. D'excès et de grossièreté. De cruauté. D'oublier. De m'entêter. De m'inonder. De toi, peut-être. De liquide, surement. Et de ta main, sur ma main. Sur mon cou. Près de moi. Du cru. Un peu de cru. 

 

 

Mais tout est cuit. Tu es parti.

 

 

Et tout est merdique.

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13 novembre 2015

Jour 2 | 12.11.15

BAT4

Encore une fois, techniquement, on est le 13 déjà. Et encore une fois, personne ne s'en importe vraiment. J'écris mieux après minuit, finalement. Je pense beaucoup plus aussi. La solitude de ma chambre qui ne me plait plus vraiment me pousse à écrire, quand je sais que plus personne n'est réveillé - et qu'ainsi je suis seule, seule avec mes pensées. Je suis retombée sur deux choses qui ont défini une partie de mon adolescence: une chanson (Boston d'Augustana, mon doux compagnon quand tout ce que je voulais c'était tout quitter et voyager un peu partout), et Bonjour Tristesse de Françoise Sagan, que j'avais empruntée à la bibliothèque probablement 5 ans en arrière environ. J'ai retrouvé une citation qui disait "Vous pensez peu au futur, n'est-ce pas? C'est le privilège de la jeunesse." Et ça m'a fait réfléchir. Peut-être que je passe à côté de la jeunesse. Peut-être que je réfléchis trop à plus tard, à cet avenir dont tout le monde me parle mais que personne ne connaît. Et peut-être, juste peut-être devrais-je m'occuper de cet avenir quand je l'aurais face à moi; pas à 20 ans à cinq heures du matin comme je l'ai fait hier. Il ne mérite pas mes nuits blanches et encore moins mes pleurs; je ne le connaîs même pas!

Ce week-end je vais aller me promener seule au parc, ça fait bien trop longtemps. Et dès que j'aurai ma bourse je vais m'acheter:

- Watchmen pour A.

- Bonjour Tristesse de Françoise Sagan

- Deux ou trois DVD d'Audrey Hepburn, dont Roman Holidays

- C'est beau une ville la nuit, de Richard Bohringer

- Un manteau jaune, bleu ou rouge. Au choix.

- Une nuisette en soie

- Des posters

Et je ferai un tour dans un thriftshop, en espérant en trouver un vraiment pas cher.

Dans les prochains mois je veux aussi tenter un livre de George Sand, un livre d'Amélie Nothomb, un livre de Simone de Beauvoir, un livre de Virginia Woolf, un livre de Marguerite Duras, un livre de Nathalie Sarraute, un livre d'Annie Ernaux, d'autres livres de Françoise Sagan, Blonde de Joyce Carol Oates et du Zaddie Smith. Bon, je veux lire beaucoup plus de romans écrits par des femmes, en fait. J'ai beau ne pas me considérer féministe - à cause des Femen j'en suis venu à détester ce mot - j'aimerai en savoir plus sur le travail des femmes en général. Je veux aussi trouver des bons magazines d'arts etc. Des magazines de mode aussi, mais qui n'ont pas des milliers de pubs et de photoshoot étranges. Juste des beaux articles et des beaux habits. C'est trop demandé? Des magazines un peu plus indépendants. Je cherche aussi des vieilles cartes postales. Je veux rendre ma chambre plus cozy, et peut-être plus féminine du coup. En tout cas moins de Londres, moins de rouge et beaucoup plus de blanc, de jolis détails et de livres. Des centaines de vieux livres, s'il vous plait. Et un tourne-disque.

Je faisais un tour sur des sites qui donne des extraits de livres et de poèmes, pour voir si je trouvais un auteur qui me plaît ou qui m'intéresse un minimum. Wystan Hugh Auden est à ajouter à la liste.

"Ô, Dis-moi la vérité sur l'amour

D'aucuns disent que l'amour est un petit garçon, 
D'autres disent que c'est un oiseau, 
D'aucuns disent qu'il fait tourner le monde, 
D'autres disent que c'est absurde, 
Et quand je demandai au voisin, 
Qui feignait de s'y entendre, 
Sa femme se fâcha vraiment, 
Et dit qu'il ne faisait pas le poids.

(...)

Nos livres d'histoire en parlent 
Avec des petites notes ésotériques, 
C'est un sujet assez ordinaire 
Sur les navires transatlantiques ; 
J'ai vu la question traitée 
Dans le récit de suicides, 
Et je l'ai même vu griffonné au dos 
Des indicateurs de chemin de fer."

 

Et Stuart Merrill, avec Roses trop rouges de mon désirCe que j'aime la poésie.

 

 

Je souhaite devenir plus douce et insouciante. Est-ce une chose étrange à souhaiter?

12 novembre 2015

1er jour, 11.11.15

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On est officiellement le 12, déjà, mais personne ne viendra vérifier ça, n'est-ce pas? Non, personne, parce que je suis la seule à venir ici et à écrire tout ce qui me passe par la tête. Une sorte de journal privé - à l'endroit le moins privé au monde: internet. On voit déjà à quel point je peux être contradictoire rien que par ça. Mais bon, au moins je peux y accéder de partout, et je ne risque pas de le perdre ou de le laisser trainer quelque part. Très positif, n'est-il pas? Il est, il est.

J'ai réussi à écrire tous les jours sur mon autre blog - celui qui est public ET officiel. Tous les jours depuis une semaine maintenant, ce qui est un miracle. Du coup bah, j'ai voulu reprendre mon journal. Peut-être pas quotidiennement, mais un minimum. Il faut archiver, archiver, archiver. Je veux me souvenir des pensées que j'ai eu quand j'étais complètement seule dans ma chambre, des scénarios dingues qui ont pu me passer par la tête et des sensations que j'ai pu ressentir au plus profond de moi. Je veux relire ça d'ici dix ou vingt ans et tout revivre comme si c'était le présent. Ca serait plutôt cool. (hello future me)

J'ai enfin vu un film de Wes Anderson aujourd'hui. J'ai opté pour Moonrise Kingdom, j'en ai tellement entendu parler... Verdict: Une vraie merveille. Il est dans mon top 5 sans hésiter. Je suis amoureuse de Suzy, de son style et de sa façon d'agir. Et Sam est vraiment trop chou. Les couleurs utilisés dans ce film sont une véritable merveille. Et j'ai trouvé ça impressionnant que Wes Anderson ait réussi à nous faire entrer dans son univers complètement différent sans pour autant avoir inventé un nouveau monde, ou des créatures. Ca se passe en 1965, avec des humains tout à fait humains... Et pourtant on sent bien qu'on est ailleurs, et c'est génial. J'ai enfin compris que c'est ça, la magie du cinéma. Etre capable d'absolument tout; et en plus de ça le partager. Je veux raconter des histoires moi aussi. Je veux partager ma façon de voir le monde: avec un peu de magie.

Future Stéphanie: dis moi que tu te couches toujours par terre, à une heure du matin (ou à n'importe quelle heure de la journée ou de la nuit d'ailleurs), dans tes sous vêtements, et que tu regardes le plafond tout en écoutant de la musique. S'il te pait, s'il te plait, s'il te plait, dis moi que tu n'as pas perdu cette habitude. Je viens de passer une heure ou plus couchée par terre et, tu le sais aussi bien que moi (evidemment, vu que tu ES moi) que ça te fait vraiment du bien de faire ça. Au cas où tu aies oublié ce que tu aimais écouter à 20 ans couchée par terre: si c'est la nuit, je te conseille la BO de Submarine d'Alex Turner ou le EP d'Aurora, Running with the Wolves. Si c'est la journée, Talking is Hard de Walk the Moon, Definitely Maybe - premier album d'Oasis ou encore Inside In/Inside Out - premier album de The Kooks. De rien.

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Il y a deux semaine j'ai lu une phrase qui disait " Let's do some "we shouldn't be doing this" things. " et j'arrive pas à me la sortir de la tête. J'ai un besoin fou de recommencer à vivre pour de vrai; et faut que je puisse le faire seule. Mais la seule personne avec qui j'arrive à me bouger les fesses dernièrement, c'est A. Et A., il est pas là, alors c'est dur de me motiver. Est-ce que c'est bizarre que je n'ai envie de sortir et de m'amuser avec personne d'autre? Pourtant quand je vais aux soirées rock je m'amuse vraiment. Je les adore, ces soirées. Je danse et j'oublie tout. Mais j'ai toujours l'impression d'être trop, dans ces soirées là. De trop en faire. De trop rire et de trop taquiner les gens. Et j'aimerai juste le faire sans m'en préoccuper mais je n'y arrive pas. Ca ne doit être que passager. Mais en attendant que tout ça ne passe et que ma motivation revienne, voici la liste des choses "que je ne devrais pas être en train de faire" que je veux faire:

- Entrer dans le parc de la tête d'or la nuit

- Bain de minuit nue quelque part

- Rester bourrée plusieurs jours à la suite pour... l'expérience, voilà.

- Courir dans les rues du Vieux Lyon tard dans la nuit

- Dessiner sur un mur

- Le faire à l'arrière d'une voiture

- Chanter et danser à tue-tête sous la pluie

- Courir en maillot de bain en hiver

- Me débarasser de mon portable sur un coup de tête (l'envie de me déconnecter complètement est trop forte mais idiote)

- Passer toute une journée à ne manger que des glaces

- Marcher pieds nus dans la rue

- Regarder un porno

- Me faire tatouer

- Trouver un moyen de "visiter" ce qu'il reste de l'immeuble en ruine vers Fourvière

- Aller en boite de nuit

... Et j'imagine qu'arrêter la fac sans avoir de plan tangible après fait parti de la liste de chose que je ne devrais pas faire mais que je voudrais -vraiment- faire.

 

Je viens de chercher "liste de choses stupides à faire" sur google. Help, future moi, je tombe bien bas! haha. Mais je suis jeune, et tant que je suis jeune je veux en profiter. Si je commence pas à profiter et à me lâcher maintenant, je ne le ferais jamais. En soit, j'ai déjà fait des "progrès" ces derniers mois. Je suis sortie toute une nuit, faire une virée nocturne. Je suis partie seule à Paris ET à Disney. Je suis partie de la maison pendant cinq jours. J'ai fais plus de bars en une soirée que dans ma vie entière. Je me suis fait un bouchon lyonnais entre amis. Je me suis baignée dans le lac au parc. Et je me suis baignée en sous-vêtements à deux heures du matin (sans compter le jacuzzi). Enfin bon, tout ça pour dire que... J'ai goûté à ma jeunesse (à 20 ans il était temps) et à une vie où les parents ne sont pas h24 sur ton dos; et ça fait un bien fou. J'aimerai bien l'année prochaine revenir sur cette liste et avoir tout fait. Ou au moins une bonne partie.

 

Bon et comme j'ai pas déjà trois millions de listes de choses à faire avant de mourir, voilà d'autres choses que j'aimerai faire en un an. (a peu près hein)

- Aller à un maximum de concerts, dont des petits concerts de groupes pas encore très connus sur Lyon (cf Satellite Jockey, pleaaaase)

- Avoir mon propre appartement (même s'il n'est pas plus grand qu'un placard)

- Visiter Amsterdam

- Entrer dans un taxi et dire "suivez cette voiture!"

- Regarder tous les films d'Audrey Hepburn

- Faire une soirée Karaoké

- Fêter Halloween

- Finir mon recueil

 

 

Bon, ok, je suis tombée sur des listes de 30 choses à faire avant ses 30 ans, avant ses 25 ans ou avant de mourir. Voilà ce que je vais retenir:

- Vider mon dressing

- Partir en roadtrip

- Tester l'épilation intégrale

- Faire une coloc

- Entrer dans un sex-shop

- M'acheter ou me faire offrir une très belle paire de chaussures

- Passer mon permis

- Apprendre trois chansons de Twenty One Pilots par coeur, rap compris

- Visiter Berlin

- Manger du caviar

- Visiter l'usine Lindt à Zurich

- Apprendre à faire des macarons

- Visiter Rome

- Me promener au bord des Cliffs of Moher en Irlande

- Sauter à l'élastique

- Assister à une course de lévrier

- Apprendre l'astronomie

 

Bon, mes listes incluent voyager à Zurich, Berlin, Amsterdam, Irlande et Rome... Et qu'en tout au final, ça fait 40 choses à faire... On va dire que ce sont des choses que je veux faire avant le 1er Janvier 2017. Ca me laisse un an, un mois et vingt jours. Ca devrait le faire, non? Let's do this. (Future moi, ne ris pas si je n'ai jamais fait ça a temps s'il te plait. Et si j'ai reussi: booyah, on gère.)

 

NOTE AJOUTEE APRES COUP:

J'avais complètement oubliée que tu avais accès à mon blog Gru. M'enfin tant pis, je vais rien supprimer. Je vais assumer le fait de t'avoir passer le lien - et le fait que j'oublie tout en écrivant et que je me crois seule. Passe une bonne journée - et fais toi une liste aussi !! 

15 octobre 2015

I miss you.

 

And eleven days ago she left far, far away. With a little piece
of my heart between her hands and a body too young ready to rest.

After Hours - Velvet Underground - Edie Sedgwick

 

My heart broke in pieces as hers stopped beating

My brain stopped working as she drifted away

We were all empty as she took her last breath

All of us going crazy as we ask her to stay

 

But you're not coming back, are you?

You're not coming back.

24 septembre 2015

#2

 

METS-TOI CA DANS LA TÊTE UNE BONNE FOIS POUR TOUTE:

TU RÊVES BIEN TROP.

merci.

 

 

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24 septembre 2015

« Le moment ou jamais, c’est souvent le pire. »

 

WHO IS IN CONTROL ?

 

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5h33.

Du blanc de partout et quelques voix par-ci par-là qui remplissent sans qu'on le veuille, sans que je le veuille, la pièce bien trop vide qui m'entoure. Ca revient encore, et encore, et encore... et encore. Et ça devient assourdissant. Alors que je me réveille, elles me chuchotent à l'oreille des mensonges que je finis par accepter. Peut-être qu'elles disent vrai? Tout à un fond de vérité n'est-ce pas? Je suis quelqu'un qui écoute. J'ai toujours fait ça: observer et écouter. C'est une qualité. C'était une qualité. Alors j'écoute. J'écoute ces voix qui commencent à trop me tenir compagnie. Et même si au fond je sais qu'elles me mentent, je ne peux m'empêcher de leur donner toute mon attention. Que je le veuille ou non, elles remplissent toutes mes pensées. Le peut-être se transforme en un oui imposant et j'ai peur. Peur de sortir et de ne plus réussir à gérer tout ça. A ne pas gérer les voix qui me crient dessus sans s'arrêter, puis qui me sussure d'une voix douce de les écouter car on se comprend mutuellement. Et si je ne les gère pas, tout le monde les verra. On me prendra pour une folle et on m'enverra là où les fous vont: loin de la raison, enfermée dans une pièce où les voix s'en donneront à coeur joie. Je ne veux pas me retrouver seule avec elles encore et encore et encore... et encore. S'il vous plait, ne me laissez pas seule avec elles encore et encore et encore... et encore.

 

7h27.

Elles sont parties... Puis sont revenues. Un peu plus fortes, plus imposantes. Deux heures sont passées et mon coeur s'est remis à battre la chamade. Je me lève pour trouver de quoi calmer ma tête qui explose - et c'est là que je le vois: le tremblement. Mon corps tremble encore. Mes bras bougent, faibles, trahissant une peur grandissante et une envie de me cacher. Mes jambes ne veulent plus vraiment me tenir - mais je ne leur donne pas le choix. Dans quelques heures on sera face au monde; et face au monde les jambes tiennent, point final. Je retourne dans mon lit, passant ma main contre ma joue. Les larmes coulent et je ne m'en étais même pas rendu compte. Je suis trop concentrée sur les voix pour me rendre compte de ma tristesse. J'écoute, encore et toujours, car mon corps paralysé m'empêche de me boucher les oreilles.

 

8h17.

Arrêtez s'il vous plait. Ca suffit.

17 septembre 2015

Souris.

Free Energy Dream City

 

Je pourrais sourire à nouveau.

A nouveau, souris souris à nouveau.

Comme le chat et la souris.

Comme le chat qui tente de tuer

Et la souris qui reste en vie.

 

 

Na nanana, na nanana

17 septembre 2015

« La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur »

 

 

Musset à dit:

"Quand la pensée veut être libre, le corps doit l'être aussi. " 

Et moi je dis oui, ça résume un peu tout.

Qui a besoin de plus, qui a besoin de plus?

 

 

 

 

 

 

 

 

Qui?

 

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17 septembre 2015

Whatever.

Milky Chance - Becoming

 

" Blood is running down the river
I feel like fond of destruction
Is destiny playing a dirty trick on you
When you were not the one you wanted to be. "

 

Oooh. Oooh. Oooh.

17 septembre 2015

Ça va.

Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça va.Ça 

 

Faut le dire combien de fois avant d'y croire?

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